Soutient les communautés du sud Depuis 15 ans
Projets en cours
Sénégal 2022 – 2024
Assurance agricole pour 7 000 agricultrices
Enjeu : La non-couverture du risque de perte de revenus fragilise les agricultrices.
Objectif du projet : Renforcer les capacités des groupements féminins à vocation agricole.
Régions : Ziguinchor, Sédhiou, Kolda, Tambacounda.
			Sénégal 2022 – 2026
Énergies rurales vertes
Enjeu : Le faible accès à l’énergie en milieu rural est un obstacle au développement économique des familles agricoles
Objectif du projet : Accroître l’accès des familles paysannes à l’énergie renouvelable par le biais d’entreprises gérées collectivement.
Régions: Village de Mbokhadane, région de Diourbel au Sénégal
			Pérou 2022 – 2025
Économie solidaire et circulaire
Enjeu : La pandémie a fragilisé les économies locales. Des groupes d’initiatives en économie sociale de six régions travaillent à les rebâtir
Objectif : Renforcer les chaînes locales et régionales d’approvisionnement des produits de l’agriculture, de l’élevage et de l’artisanat
Régions: Tumbes, Piura, Cajamarca, Amazonas, La Libertad et San Martin
			Vos dons se transforment en actions concrètes
organisations partenaires
équipes régionales
personnes donatrices
Blogue
Mouvement coopératif: l’urgence d’une parole publique exprimée
En économie, la pensée qui règne est le tout au marché. Il est urgent disent enfin des dirigeants du mouvement coopératif et des chercheurs près de ce mouvement qu’une autre parole publique s’exprime car il est de plus en plus démontré que le modèle économique dominant ne peut concilier création de richesse et équité tant à l’échelle locale qu’internationale.
Écologie, communautés locales et solidarité internationale
{Les questions environnementales sont la plupart du temps, et surtout en temps de crise des finances publiques, reléguées au second plan au bénéfice de la réduction des déficits publics (entre autres par les redevances anticipées ou supposées de minières, gazières et pétrolières de ce monde) [[Ces déficits servent aussi de prétexte pour ne pas investir plus dans les énergies renouvelables.]] . Mais peut-on tolérer encore longtemps des États qui ont des politiques de laisser-faire face à l’intensification de l’exploitation des ressources naturelles et notamment des ressources énergétiques fossiles (la dernière en liste, le gaz de schiste), l’exploitation intensive de terres agricoles à des fins énergétiques (ce qui menace la biodiversité), l’utilisation des terres arables à d’autres fins (grands centres d’achat, espaces pour le parc automobile au Nord, terres pour produire des agrocarburants au Sud) ?} Peut-on laisser une agriculture productiviste continuer à utiliser massivement des intrants chimiques et des pesticides en polluant les nappes phréatiques et les cours d’eau, à augmenter la distance entre la production agricole à grande échelle et les lieux de transformation et de consommation, etc. ? C’est en ces termes que s’exprimait l’organisation des Rencontres du Mont-Blanc (RMB) dans son document d’orientation discuté à Chamonix l’an dernier (pour préparer Rio+20), [document produit par Mario Hébert, économiste à Fondaction et moi-même->https://www.rencontres-montblanc.coop].
Écologie, mouvements sociaux et développement des communautés: certains mythes ont la vie dure
Pour faire suite à deux de mes billets sur les débats entourant Rio+20, le dernier qui traitait de la main mise supposée du capitalisme sur l’économie verte et le second qui abordait la question de savoir s’il nous fallait faire nos adieux à la croissance, je poursuis ici la réflexion sur l’état des lieux de la question écologique au sein des mouvements sociaux et dans le développement des communautés en me faisant l’avocat du diable sur quelques idées reçues concernant la décroissance, les indignés et le développement des communautés à la base. Âmes sensibles s’abstenir !
					

